Lesphrases cĂ©lĂšbres de citation chose passe Note moyenne : 3/5 “ Des choses arrivent qui sont comme des questions. Une minute se passe, ou bien des annĂ©es, puis la vie rĂ©pond. ” [ Alessandro Baricco] Ma note : Pas de note “ Le temps passe. Et chaque fois qu'il y a du temps qui passe, il y a quelque chose qui s'efface. ” [ Jules Romains] Ma note : Pas de note “ PrĂ©sage Javais des amis, des ennemis, on ne faisait pas de diffĂ©rences. Il n'y avait pas d'Arabes, de noirs, de blancs, d'Asiatiques, juste des copains et des copines. Salut si lui, ça ne lui pose pas de pb, il va avoir du mal Ă  arrĂȘter. C'est une addiction comme une autre, enfin pas tout Ă  fait, mais comme la clope quoi, et on arrive Ă  arrĂȘter pour soi, mais pas Ă  tenir sur la durĂ©e si c'est pour qqnJe crois qu'une des questions, c'est pourquoi il a besoin de fumer des joints, pour se dĂ©tendre, pour oublier sa journĂ©e de taf, pour dormir ? NathalieJupin, de l'Office de Tourisme de le Mans MĂ©tropole regorge de visites Ă  faire, prenons note ! Visites originales au cƓur de la citĂ© PlantagenĂȘt, de la cathĂ©drale %26quot;sans Ilfaut savoir rester objectif quand les choses Ă©voluent dans le bon sens. MAJ 2 : Colis bien livrĂ© (mais avec 1 jour de retard, dĂ» au transporteur qui ne respecte pas ses dĂ©lais). Sinon, colis protĂ©gĂ© d'origine (avec sangles), par la marque, mais LeBon air de la campagne, Hubert Van Rie, Les presses de la citĂ© « Le roman graphique est une nouvelle grammaire qui s’est durablement installĂ©e dans le paysage.C’est une façon de se rĂ©approprier l’image et de leur donner du sens », explique Sofia Bengama.DĂšs son arrivĂ©e Ă  la direction des Presses de la citĂ© en octobre 2020, elle dĂ©cide donc de s’emparer du Toutsur il s en passe des choses dans ma citĂ©. . Trouver n'importe quoi. il s en passe des choses dans ma citĂ© . Il s'en passe des choses dans ma cit - Portail acadĂ©mique. Il s'en passe des choses dans ma citĂ© de Guy Foissy II s'en passe des choses dans ma citĂ©. Il n'y a qu'Ă  regarder. Moi, un jour, j'ai dit : « J'arrĂȘte, je regarde. Ouverte. Il s'en passe des choses Oui, je suis montĂ© sur scene pour mettre des giffles humiliante a busta rymnes pasquil avais 2min de retard pour le debut de son concertTout le monde fais ca - page 8 - Topic Il s'est passĂ© ToutĂ  l’heure, comme je traversais le boulevard, en grande hĂąte, et que je sautillais dans la boue, Ă  travers ce chaos mouvant oĂč la mort arrive au galop de tous les cĂŽtĂ©s Ă  la fois, mon aurĂ©ole, dans un mouvement brusque, a glissĂ© de ma tĂȘte dans la fange du macadam. Je n’ai pas eu le courage de la ramasser. Ils'en passe des choses dans ma citĂ© Guy Foissy II s'en passe des choses dans ma citĂ©. Il n'y a qu'Ă  regarder. Moi, un jour, j'ai dit : « J'arrrte, je regarde. » J'ai posĂ© par terre mes deux sacs. Je me suis assis. J'ai regardĂ©. Les gens venaient Les gens marchaient Les gens passaient Les gens tournaient Les gens filaient 6pJ3k. 24 aoĂ»t 2022 Category News Comments Ca y est, on y est, c’est terminĂ©. Les parois encore tĂąchĂ©es du sang des innocents s’effondrent, la mousse humide se dĂ©colle des stalactites pour tomber dans les riviĂšres acides, les rats et chauves-souris filent vers d’autres mausolĂ©es, le sol se craquelle, le terrain s’affaisse et bientĂŽt ne restera que des marĂ©cages funĂ©raires. La crypte toxique s’éteint et son dĂ©voyĂ© des cimetiĂšres Rigs Mordo avec elle. Tourments et tortures Ă  leurs Ăąmes. Quelques minutes me sĂ©parent toujours de la ruine et me permettent donc, Ă  la lueur d’une bougie cachĂ©e sous un crĂąne humain, de noircir un ultime parchemin, tant que l’encre ne me fait pas dĂ©faut et qu’aucun dĂ©bris ne vienne fracasser mes cornes. Tout a pourtant Ă©tĂ© dit ou presque, en dix ans. Il reste certes quelques coins de terre maudits dont je n’ai pas vantĂ© les fragrances cadavĂ©riques, quelques tombes que je n’ai pas profanĂ©es. Des corps restĂ©s intacts et sauvĂ©s de mes lames, des sirĂšnes dont les secrets seront gardĂ©s. Des forĂȘts oĂč je n’ai pas trĂ©buchĂ©, des dĂ©serts inexplorĂ©s. Des anatomies non terminĂ©es et des festins anthropophages remballĂ©s prĂ©maturĂ©ment, avant le chariot de fromages et la dame blanche. C’est ainsi, on ne peut pas tout faire ni ĂȘtre partout Ă  la fois, et d’autres combleront les trous, pallieront aux manques. J’ai fais ce que j’avais Ă  faire. 1399 films dĂ©pecĂ©s c’est con, Ă  un prĂšs c’était rond, une quinzaine de dossiers, autant de documentaires, plus de quarante numĂ©ros de fanzines parcourus, trente-et-un livres percĂ©s Ă  jour, quinze Rayon Action oĂč je troquais la hallebarde contre le AK-47, quelques 16 interviews et 558 news. Celles-ci se rarĂ©fiĂšrent avec le temps pour carrĂ©ment disparaĂźtre sur les derniĂšres annĂ©es, par manque d’intĂ©rĂȘt pour l’actualitĂ© principalement, ainsi que par lassitude face aux nombreuses nĂ©crologies Ă  effectuer. Nous avons perdu beaucoup de monde, en dix ans, et s’il fut facile de trouver les mots pour les premiers partis, les suivants, petits suiveurs qui ne faisaient que copier leurs aĂźnĂ©s et se moquĂšrent bien qu’il n’y ait rien d’original Ă  s’en aller pour de bon, tombĂšrent au moment oĂč les mots manquĂšrent. Ce fut d’ailleurs mon problĂšme majeur sur les derniers temps. Un manque cruel de mots. Comment encore dĂ©crire sans se rĂ©pĂ©ter les maraudes nocturnes de l’aristo vampire, petit prince du cocufiage
 comme tous ceux qui le prĂ©cĂ©dĂšrent ? Comment renouveler son vocabulaire face Ă  des hommes-loups couchant tous Ă  la mĂȘme niche et usant tous de la mĂȘme lune, pleine Ă  tous les coups, pour prendre des crocs et grogner de pareilles façons ? Les momies ne piquent jamais de sprint, les savants fous partent systĂ©matiquement en cendres avec leur crĂ©ation, les tueurs masquĂ©s restent taiseux et ne s’excusent jamais, les rednecks crachent leurs chicots puis vous font cracher les vĂŽtres et les petits hommes verts ont de grandes envies de conquĂȘte. J’aime tout ça. Je l’ai toujours aimĂ©. DĂšs que je suis tombĂ© sur le dessin-animĂ© FantĂŽmes et puis sur celui des Tortues Ninjas dans les annĂ©es 80. J’ai su que j’aimais les spectres et les mutants, et fidĂšle je leur suis restĂ©. Je l’ai encore su lorsque mon pĂšre m’invitait Ă  visionner telle bande sur un curĂ© se mangeant une scie circulaire dans l’abdomen, sur tel laborantin persuadĂ© d’avoir trouvĂ© le sĂ©rum repoussant la mort, sur tel manoir farci de golems pĂ©tomanes ou sur telle riviĂšre oĂč ne dorment que d’un Ɠil des nazis zombies allergiques au soleil. J’aimerai toujours ça. Mais je ne ressens plus le mĂȘme besoin d’en parler. C’est aussi simple que cela. Je l’ai fais. J’espĂšre pas trop mal. Je n’en suis toujours pas convaincu. Car le processus fut parfois douloureux, et Ă  vouloir trop bien faire on se soumet au pire des regards critiques, celui paralysant du type qui tient la plume et se bloque avant mĂȘme l’impact avec la page. Je tricote un peu, car en vĂ©ritĂ© je n’ai jamais passĂ© plus de deux minutes Ă  me demander ce que j’allais bien pouvoir raconter, Ă©tant de l’école Ă©cris d’abord, tu feras le tri ensuite. » Si on ne se lance pas, rien ne sort. Mais ce fut dur Ă  l’occasion, et si j’ai attendu 2022 pour dynamiter mon antre, je jongle en vĂ©ritĂ© avec l’idĂ©e depuis 2018 au moins. La peur de se rĂ©pĂ©ter, renforcĂ©e par la prise de conscience que les films traitĂ©s se rĂ©pĂštent dĂ©jĂ  entre eux, les uns se faisant Ă©cho des autres, les rĂ©alisateurs chapardeurs dĂ©calquant au trait prĂšs ce qu’ils ont vu l’avant-veille, jusque dans les intonations de personnages eux-mĂȘmes habillĂ©s aux mĂȘmes enseignes et sortis des mĂȘmes Ă©coles de pensĂ©e. Celles leur apprenant Ă  baiser lĂ  oĂč deux jeunes se sont fait empaler le week-end prĂ©cĂ©dent, gĂ©nĂ©ralement. J’aime tout ça vous voyez que je me rĂ©pĂšte, mais je l’ai trop criĂ©. Je n’ai presque plus de voix, et je me dois de garder le peu qu’il me reste pour Black Lagoon Fanzine, aventure similaire j’y traite des mĂȘmes sujets que dans mon cloaque pourri mais aussi diffĂ©rente, car je n’y suis pas pĂšre cĂ©libataire. Au lagon, je suis en couple. Nous sommes deux Ă  mettre le cartable au petit le matin. Deux Ă  lui donner le bain le soir venu. Deux Ă  penser Ă  son avenir, Ă  le prĂ©parer soigneusement. Toxic Crypt Ă©tait un projet solitaire et donc une masse de travail rarement partagĂ©e – mĂȘme si quelques sauvageons venaient parfois se poser ici et ne pouvaient s’empĂȘcher de tagger les murs. Toxic Crypt, c’était auparavant une chro tous les deux jours, puis lorsque je n’en pu plus, ce fut trois par semaine. Pas la baisse de rythme du siĂšcle, mais cela me permettait de souffler, de m’offrir des soirĂ©es passĂ©es Ă  faire autre-chose que vider les charniers du genre. Tenir un site seul, cela signifie aussi ingurgiter plus de films que l’on peut parfois en avaler, consacrer minimum quatre soirĂ©es par semaine au visionnage d’égorgements, Ă©tripages, rĂ©surrections et malĂ©dictions. Jusqu’à y perdre goĂ»t. Je sais que ça n’en avait pas l’air, car avec Toxic Crypt je cherchais une ambiance, une ode Ă  une culture faite mode de vie, mais sous le slime se cachaient des goĂ»ts plus variĂ©s qu’il n’y paraĂźt, des intĂ©rĂȘts autre que la dĂ©coupe de promeneur. Des passions pour certaines mises en sourdine durant une dĂ©cennie, tandis que celle pour l’épouvante diminuait peu Ă  peu. Trop envahissante, trop dans la gueule. Trop Ă©puisante. Je sais que certains lecteurs fidĂšles et amis proches voient cette mise en biĂšre comme un sinistre Ă©vĂšnement, comme un triste au revoir. Ce n’est lĂ  qu’un mirage de l’esprit. Vous retrouverez des sites de types aussi Ă  fond que moi. Le net en dĂ©borde. Certains plus endurants ont fait le double de mon temps et le font encore, sous une forme ou une autre. Vous avez de quoi faire. Moi, je vais me reposer un peu. RĂ©apprendre Ă  ĂȘtre seul avec un film, Ă  le voir sans me demander ce que je vais en dire le lendemain, Ă  entrer en communion avec sans sentir les ombres du reste du milieu bis venir me griffer l’échine. En refaire une expĂ©rience personnelle. Le faire quand je veux, comme je veux. Si je veux. C’est heureux, croyez-le. Je sais aussi que quelques-uns regrettent, voire ne comprennent pas, que le site disparaisse enterrement prĂ©vu Ă  la mi-septembre, plutĂŽt que de le laisser en ligne. La question n’est pas financiĂšre. Cela a son petit prix de garder une base de donnĂ©es consĂ©quente sur le marchĂ©, mais ce n’est pas non plus excessif. Non, j’ai tout simplement besoin de savoir la chose derriĂšre moi, de ne pas me sentir accrochĂ© Ă  un vieux rocher que je ne parviendrais Ă  tirer ailleurs. A la mort de mon pĂšre, je fus soulagĂ© que ma famille et moi ayons optĂ© pour l’incinĂ©ration, car je n’aurais alors pas Ă  craindre de ne pouvoir m’éloigner d’une tombe. Je ressens la mĂȘme chose avec Toxic Crypt pour que page se tourne, le livre tout entier il faut parfois brĂ»ler. Je ne sortirai pas non plus un recueil de chroniques. Plusieurs m’ont glissĂ© l’idĂ©e Ă  l’oreille. J’y suis totalement opposĂ© et je ne le ferai pas. Parce que je veux passer Ă  autre-chose, d’une part. Parce que je suis dĂ©jĂ  fort occupĂ© avec Black Lagoon et quelques autres projets d’amis que je soutiens, d’une autre. Et d’une derniĂšre parce que Toxic Crypt, s’il a beaucoup comptĂ© pour une poignĂ©e, ne fut pas non plus un franc succĂšs ni une rĂ©fĂ©rence. C’était un petit site, quasiment un blog, vouĂ© Ă  l’obscuritĂ©. Et ça m’allait bien c’est dans le noir que l’on se fait des confidences. Mais c’est aussi une rĂ©alitĂ© transformer le site en une version papier, mĂȘme pour un best-of, serait lui donner une importance qu’il n’a en vĂ©ritĂ© jamais eue. Je ne veux pas avoir la prĂ©tention de la lui donner. En outre, certains papiers vivront sous une autre forme, car Black Lagoon continue Ă©videmment et qu’il est probable que certaines prophĂ©ties ici clamĂ©es se rĂ©aliseront lĂ -bas. No remorse, donc, car je suis allĂ© au bout du truc, aussi loin que possible avec une promo inexistante me vendre et feindre les amitiĂ©s pour gagner du like n’a jamais Ă©tĂ© ma cup of tea, tenu aussi longtemps que je le pouvais Ă  une cadence Ă©levĂ©e. J’ai dĂ©couvert des films que je n’aurais probablement jamais vus si la crypte ne me nourrissait pas d’une curiositĂ© toujours plus grande. J’ai travaillĂ© mon Ă©criture, me suis amĂ©liorĂ©, ai appris des choses. Et j’ai fais un paquet de bonnes rencontres. Je ne vais pas tomber dans le name dropping par peur de vexer qui je pourrais oublier, mais beaucoup de visages me viennent en tĂȘte. Il y a ce type qui a passĂ© quelques mois dans la crypte Ă  jouer du scalpel pour chroniquer plusieurs Ɠuvres europĂ©ennes, dont j’ai Ă©normĂ©ment appris dans les salles d’autopsie oĂč il fut un grand instructeur. Cet autre avec qui ça parlait d’abord aquarium Ă  piranhas et avec lequel on a fini par aller se noyer dans des ocĂ©ans entiers d’hommes-poissons. Cet emmerdeur incapable de respecter mes lĂ©gitimes vƓux de solitude et auquel il me sera toujours impossible d’avouer apprĂ©cier la compagnie. Cet homme de peu de mots et dont la moitiĂ© est Ă  destination de la gent fĂ©minine et ses dĂ©colletĂ©s dont la confiance sans cesse renouvelĂ©e me fait me sentir privilĂ©giĂ©. Ce barbare qui rĂŽde quasiment depuis le premier jour dans la crypte alors qu’il devait lui aussi s’occuper de la sienne, dont les encouragements n’ont jamais cessĂ© et furent toujours source de motivation. Ce gus avec qui il est possible de parler aussi bien de rĂ©alisateurs inconnus mĂȘme de leurs mĂšres que de youtubeurs se branlant dans des figurines Star Wars qu’ils font parfois fondre dans l’acide. Tous ces cafards furieux, mĂ©duses nymphomanes et droguĂ©s en overdose donnant dans l’impression de tracts visqueux de 60 Ă  600 pages m’ayant un jour invitĂ© Ă  Ă©ructer dans leurs pages, et qui pour certains ne manquĂšrent jamais de me prodiguer de justes conseils, parfois informatiques et photoshopesques. Ce couple fait Ă©diteur des films les plus rĂ©pugnants du monde connu, en fait les types les plus charmants et dĂ©licats qui soient. Ce gars que j’admirais ado et qui me donna l’opportunitĂ© de lui parler d’égal Ă  Ă©gal, alors qu’il n’y avait pas lieu de le faire. Tous ces freaks portĂ©s sur le cannibalisme avec qui j’ai passĂ© des heures en voiture, vidĂ© des verres, causĂ© jusqu’aux heures les plus tardives, Ă  qui j’ai lĂąchĂ© un peu de monnaie, qui m’en ont lĂąchĂ© un peu parfois aussi. Puis tous ces lecteurs et lectrices, qui partageaient, commentaient, demandaient des nouvelles, venaient d’un rĂ©seau social ou un autre, n’en loupaient jamais une. Je ne vous cite pas, ce serait trop long. Mais je me souviens des noms et pseudos de chacun. A vous tous, merci du fond du coeur de pierre. Merci aussi Ă  Ayla, qui posa la premiĂšre pierre en 2012 et me montra comment construire Ă  partir de lĂ . Ainsi qu’à mon pĂšre, qui s’il n’avait pas achetĂ© et enregistrĂ© tant de VHS il y a quarante ans de cela ne m’aurait pas injectĂ© le virus du revenant. Puis merci Ă  moi-mĂȘme, aprĂšs tout. Parce que, tout de mĂȘme, quel pĂ©nis. Baisez vos mĂšres, Rigs Mordo French Arabic German English Spanish French Hebrew Italian Japanese Dutch Polish Portuguese Romanian Russian Swedish Turkish Ukrainian Chinese English Synonyms Arabic German English Spanish French Hebrew Italian Japanese Dutch Polish Portuguese Romanian Russian Swedish Turkish Ukrainian Chinese Ukrainian These examples may contain rude words based on your search. These examples may contain colloquial words based on your search. Translation - based on AI technology Oops! We are having trouble retrieving the are working on solving the issue. Il s'en est passĂ© des choses Voice translation and longer texts Il s'en est passĂ© des choses depuis votre arrivĂ©e. Il s'en est passĂ© des choses dans ma vie depuis la derniĂšre fois. Il s'en est passĂ© des choses, vraiment. Il s'en est passĂ© des choses depuis ce printemps. No results found for this meaning. Results 2588592. Exact 67. Elapsed time 982 ms. Il s’en passe des choses dans ma n’y a qu’à un jour, j’ai dit “J’arrĂȘte, je regarde.”J’ai posĂ© par terre mes deux me suis assis. J’ai gens venaientLes gens marchaientLes gens passaientLes gens tournaientLes gens filaientLes gens glissaientLes gens dansaientLes gens parlaientGesticulaientLes gens criaientLes gens riaientLes gens s’en passe des choses dans ma n’y a qu’à voit de tout, on peut tout ce qu’on ne voit jamais dans ma citĂ©, c’est un regard qui vous regarde et qui s’ gens naissaientLes gens vivaientLes gens moi, je restais sur mon banc de pierre, encadrĂ© par mes deux merveilleux partout oĂč il y a des femmes, partout oĂč il y a des hommes,Partout il y a la dĂ» me lever. Leur tendre la dire “Salut. Bonjour! J’ vous? Vous existez?”Je suis restĂ© plus souvent, c’est ainsi que les choses se Foissy